Pour une meilleure prise en charge des fausses couches

Pour une meilleure prise en charge des fausses couches

Une fois n’est pas coutume, ce lundi, Familles Durable relaie la tribune pour une meilleure prise en charge par la société des Arrêts Naturels de Grossesses publiée par Le Monde, ainsi que la pétition, toutes deux lancées par les fondatrices du collectif “Fausse couche, vrai vécu” que sont Judith AquienFanny de Font-RéaulxMathilde LemiesleAnna N’DIAYESandra Lorenzo et Paloma Stefani.

“En France, 200 000 femmes traversent cette épreuve chaque année.

1 grossesse sur 4 se termine au cours du premier trimestre. 

1 femme sur 10 risque de subir un arrêt naturel de grossesse au cours de sa vie. 

Pourtant, à plusieurs niveaux de la société, ces arrêts naturels de grossesse sont encore trop souvent tus et banalisés.”

Collectif “Fausse couche, vrai vécu”

Retrouvez la tribune sur le journal Le Monde ici, également sur le site Change, ici.

Pour la pétition, c’est par ici.

Vous devriez aussi aimer
Afficher plus

Le rôle de l’environnement familial dans la réussite scolaire

Les parents ont tendance à façonner des environnements qui favorisent le développement scolaire de leurs enfants en partie en fonction de leur propre prédisposition génétique plutôt qu'en réponse à la prédisposition génétique de chaque enfant, selon une étude parue dans Molecular Psychiatry. Un partage Familles Durables.
Afficher plus

Finlande et Suède : une étude identifie les facteurs majeurs de l’absence involontaire d’enfants

Troubles mentaux et comportementaux chez les hommes, anomalies congénitales et les troubles endocriniens, nutritionnels et métaboliques chez les femmes sont les principaux déterminants de l’absence involontaire d’enfants en Suède et en Finlande, selon une étude ayant passé au crible les données de toutes les personnes nées entre 1956 et 1973. Un partage Familles Durables.
Afficher plus

Un lien entre une enfance difficile et la “créativité malveillante” chez les jeunes adultes

Un article publié dans la revue scientifique Behavioral Sciences établie un lien entre les expériences difficiles vécues pendant l’enfance et la “créativité malveillante” à l’âge adulte. L’étude menée par Natalie A. Ceballos et Toni Terling Watt, de Texas State University, démontre également que les personnes ayant des niveaux plus élevés de soutien social et d’empathie étaient moins susceptibles de se livrer à une créativité malveillante. Une étude relayée par Familles Durables.