Les raisons du non-recours au congé paternité en France

Les raisons du non-recours au congé paternité en France

Dans le Céreq Bref n°419, Alix Sponton (Sciences Po Paris, Observatoire sociologique du changement – Institut National d’Études démographiques) se penche sur les freins au recours au congé de paternité chez les jeunes pères.

Alors que la majorité des pères recourent au dispositif, environs 30% n’exercent pas leur droit. Dans quelle mesure ce non-recours est lié à leur degré d’implication dans la sphère familiale ?

En conclusion et en guise de recommandation, l’autrice souligne que “la littérature internationale indique que les congés les plus propices à favoriser l’investissement des hommes dans les tâches parentales et domestiques sont ceux rémunérés, réservés aux pères, de plusieurs mois et utilisés en partie en dehors du congé de la mère.

Pour accéder à l’article, cliquer ici

Vous devriez aussi aimer
Afficher plus

Le rôle de l’environnement familial dans la réussite scolaire

Les parents ont tendance à façonner des environnements qui favorisent le développement scolaire de leurs enfants en partie en fonction de leur propre prédisposition génétique plutôt qu'en réponse à la prédisposition génétique de chaque enfant, selon une étude parue dans Molecular Psychiatry. Un partage Familles Durables.
Afficher plus

Finlande et Suède : une étude identifie les facteurs majeurs de l’absence involontaire d’enfants

Troubles mentaux et comportementaux chez les hommes, anomalies congénitales et les troubles endocriniens, nutritionnels et métaboliques chez les femmes sont les principaux déterminants de l’absence involontaire d’enfants en Suède et en Finlande, selon une étude ayant passé au crible les données de toutes les personnes nées entre 1956 et 1973. Un partage Familles Durables.
Afficher plus

Un lien entre une enfance difficile et la “créativité malveillante” chez les jeunes adultes

Un article publié dans la revue scientifique Behavioral Sciences établie un lien entre les expériences difficiles vécues pendant l’enfance et la “créativité malveillante” à l’âge adulte. L’étude menée par Natalie A. Ceballos et Toni Terling Watt, de Texas State University, démontre également que les personnes ayant des niveaux plus élevés de soutien social et d’empathie étaient moins susceptibles de se livrer à une créativité malveillante. Une étude relayée par Familles Durables.