Des relations fraternelles chaleureuses, un booster de bonheur à l’âge adulte

De bonnes relations fraternelles à 23 ans permettent un moindre risque de problèmes psychologiques 20 ans plus tard. C’est ce que démontre Megan Gillian, professeure associée de développement humain et de science familiale à l’Université du Missouri. Un partage Familles Durables.

Des relations fraternelles chaleureuses, un booster de bonheur à l’âge adulte

Une étude dirigée par Megan Gillian, professeure associée de développement humain et de science familiale à l’Université du Missouri, fait la lumière sur le lien entre de bonnes relations fraternelles au début de l’âge adulte et de moindres problèmes de santé mentale au cours du vieillissement.

L’article publiée dans The Journal of Family Psychology, évoquée par le média américain NPR dans sa série “La science de la fratrie” (The Science of Siblings).

Megan Gilligan et ses collègues ont analysé les réponses de centaines de participants au Family Transitions Project, une étude courant sur plusieurs décennies sur les relations familiales.

Parmi leurs trouvailles, les moindres niveaux d’anxiété et de symptômes dépressifs à l’âge de 41 ans chez les personnes ayant rapportés de hauts niveaux de chaleurosité et de connection avec leur fratrie à l’âge de 23 ans.

Les personnes qui se sentaient en conflit avec leur fratrie à 23 ans étaient plus susceptibles de mentionner des émotions négatives 20 ans plus tard.

“La fratrie est une source de soutien social, et réduit les difficultés de santé mentale liées à l’isolement”, décrit la professeure Gilligan.

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