Les neurosciences et l’amour durable
Dans une recherche menée au sein des Neuroscience Research Institute et du Department of Psychological and Brain Sciences, de l’Université de California, Bianca Aceveda et son équipe ont exploré les connexions neuronales et génétiques propres à l’amour au sein de 19 couples de jeunes mariés n’ayant jamais été mariés auparavant.
Le résultat ? Il semblerait que que l’amour romantique durable fasse partie, chez les mammifères que nous sommes, d’une stratégie plus générale de reproduction et d’attachement à long terme ; une stratégie influencée par le circuit neuronal de la récompense, des processus cognitifs complexes et des facteurs génétiques.
En résumé, les humains seraient programmés pour entretenir une relation amoureuse durable et ainsi protéger et maximiser la famille ; tout cela grâce aux neurotransmetteurs comme la dopamine, et une succession de mutations génétiques.
Accéder à l’article universitaire en anglais par ici, et la présentation sur le site de l’University of California in Santa Barbara par ici.